Mon Approche
Le coaching holistique pour révéler toutes les facettes de soi
qu'est ce que le coaching holistique
L’approche holistique vise à prendre soin de l’être humain dans sa globalité comme un individu faisant partie du tout.
Cette approche prend en compte toutes les dimensions de l’être : Emotionnel, Physique, Psychique (Mental) et Spirituel, souvent citées aussi sous la forme Cœur – Corps – Esprit.
C’est pourquoi mon accompagnement allie processus de coaching professionnel avec une approche systémique, énergétique et spirituelle pour une connaissance de soi globale à 360°, pour une relation profonde, alignée et épanouissante à soi, à l’autre, au monde et à plus grand que soi.
Tout est dans le tout, rien ne s’oppose, toute approche est parfaitement complémentaire d’une autre pour révéler une autre partie de soi. En effet, on ne peut voir toutes les facettes d’une personne, sombres comme lumineuses, si l’éclairage vient toujours du même côté.
Je garde ainsi uniquement les bénéfices de chaque approche pour les mettre au service de la personne que j’accompagne afin de l’aider à se libérer de ses entraves, révéler sa nature profonde, à exprimer son plein potentiel et se réaliser dans sa vie et ses projets, professionnels comme personnels.
Mes parcours d’accompagnement sont individuels et individualisés ; ils respectent le cadre du coaching avec un nombre limité de séances et une durée variable selon la problématique et le temps nécessaire pour chaque personne.
« La folie c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent » Albert Einstein.
Le coaching projette vers l’avenir à partir du présent, de la situation actuelle, pour atteindre une situation désirée, un objectif concret pour lequel la personne a des difficultés à passer à l’action.
Je questionne la personne à l’aide d’outils spécifiques du coach pour la rendre autonome à atteindre cet objectif en levant ses blocages (peurs, croyances, comportements aberrants) et en trouvant les ressources et la motivation nécessaires sur lesquelles elle peut s’appuyer.
Cela nécessite un engagement et une responsabilité de la personne durant le processus.
Dans ma posture de coach professionnel, je ne donne ni conseils ni enseignements. Seule la personne que j’accompagne sait; elle a déjà toutes les réponses à ses questions et ressources en elle. Je suis simplement un facilitateur pour les faire émerger en conscience.
Un avantage majeur du coaching est que le processus est cadré et contractualisé avec un nombre limité de séances, généralement entre 8 et 12 maximum. Il n’y a aucun risque de dépendance vis à vis du coach et la personne sait exactement où elle va financièrement.
Le point faible du coaching seul est d’occulter l’influence du passé sur le présent au risque d’une rechute à moyen terme en se manifestant par un autre biais, mais aussi de ne rester centré que sur soi sans aborder sa raison d’être, sa mission de vie, sa place et sa contribution au monde.
C’est précisément ce que j’aborde en complément du coaching avec l’approche systémique et spirituelle dans mes parcours d’accompagnement.
« Quand tu ne sais pas où aller, regarde d’où tu viens » Proverbe africain.
L’approche systémique et énergétique remonte à la source pour la traiter et se libérer d’une problématique qui émerge dans le présent, vous bloque dans votre vie et vous empêche d’avancer vers un objectif personnel ou professionnel.
Je recherche avec la personne dans son passé, dans son histoire de vie, l’origine et le pourquoi de son mal-être de la situation actuelle. Ce processus l’aide à mettre du sens sur ce qu’elle vit au présent et à réparer le passé pour ne plus le subir dans sa vie, à faire le pas de côté en conscience.
C’est ce que j’explore entres autres au travers de l’arbre de vie, une approche narrative par le dessin de la connaissance de soi ou les constellations familiales pour vous libérer d’entraves inconscientes liées à vos ancêtres.
Le point faible de cette approche seule est de négliger les objectifs concrets et la mise en action, en traitant en priorité les mécanismes psychiques (mentaux) et émotionnels et d’être plus observateur des transformations qu’acteur en mouvement.
De plus on sait quand on commence, on ne sait jamais quand on finit, ce qui a aussi des conséquences financières. Un lien de dépendance peut alors s’établir entre le professionnel et son client.
C’est ce à quoi l’alliance avec le processus de coaching va palier en donnant de l’autonomie à la personne sur un nombre de séances limité.
« Vous devez être le changement que vous voulez voir dans le monde » Gandhi.
L’approche spirituelle amène une dimension sacrée à la connaissance de soi et de la situation vécue par la personne en se reliant à son être profond, à son âme et à plus grand que soi.
C’est cela « la magie » de l’approche spirituelle, l’âme qui agit…
Il ne s’agit plus de ne penser simplement qu’à soi en tant qu’individu, mais à sa place et son rôle dans le monde, à sa contribution à l’évolution de l’humanité toute entière, à vivre en totale harmonie avec soi et son environnement.
J’explore alors la raison d’être, la mission de vie qui donnent du sens à ce que la personne a vécu, à ce qu’elle vit au présent et à ses projets de vie. C’est un véritable booster de motivation qui a tout son sens dans un processus de coaching.
Mes outils de prédilection pour les aborder sont l’ennéagramme pour prendre conscience de vos comportements dominants vertueux et toxiques associés à votre profil et développer votre plein potentiel dans votre vie et vos relations, l’ikigaï pour explorer sa raison d’être, sa voie d’épanouissement et la numérologie pour découvrir son chemin et mission de vie, ses challenges, son héritage familial, le désir profond de son âme.
Je tiens à préciser qu’il n’y a ni guidance, ni enseignement, ni liens religieux dans mes pratiques qui n’ont pour but que de révéler la nature profonde de la personne.
Le reproche de la seule approche spirituelle est la tentation de « rester perché » dans un monde de bisounours et de perdre l’ancrage dans la réalité.
L’alliance avec le processus de coaching va alors favoriser la personne à être dans le concret, dans l’action.
éthique et déontologie
En tant que coach professionnel certifié, je m’engage à respecter la charte éthique et la déontologie du coaching dont les articles de la charte éthique sont rappelés ci-dessous.
Ma posture n’est pas celle d’un thérapeute et encore moins d’un gourou, mais celle d’un coach professionnel avec une approche pluridisciplinaire.
Je me sens aligné, ancré dans la réalité et connecté à ma mission de vie au bénéfice entier de la personne que j’accompagne.
Je précise que tout processus de coaching et toute autre approche ne se substituent en aucun cas à un traitement médical et la consultation d’un médecin généraliste.
Le Coach réfère son exercice aux principes édictés par les législations nationale, européenne et internationale sur le respect des droits fondamentaux des personnes, et spécialement de leur dignité, de leur liberté et de leur protection. Il s’attache à respecter l’autonomie d’autrui et en particulier ses possibilités d’information, sa liberté de jugement et de décision.
Le client est toujours considéré comme une finalité et non comme un moyen. Il n’intervient qu’avec le consentement libre et éclairé des clients concernés.
Réciproquement, toute personne ou toute organisation doit pouvoir s’adresser directement et librement à un Coach.
Le Coach préserve la vie privée des personnes aussi bien que la sécurité des actifs stratégiques des organisations en garantissant la confidentialité des échanges et des informations collectées, y compris entre collègues.
Il respecte le principe fondamental que nul n’est tenu de révéler quoi que ce soit sur lui-même.
Le Coach est attentif au métier, aux usages, à la culture, au contexte et aux contraintes de l’organisation pour laquelle il travaille. Son « extériorité politique » est la base et la condition de son intervention. Ainsi le Coach ne peut s’autoriser à prendre parti dans ou participer à un conflit ou à des luttes d’influence.
De la même manière il s’interdit de donner des avis non sollicités, d’intervenir au-delà du strict cadre du coaching que la demande soit explicite ou implicite de la part du donneur d’ordre, de se muer en porte-parole de celui-ci ou de se substituer à un membre de l’organisation quel qu’il soit.
Le Coach adopte une posture de neutralité et d’équidistance vis-à-vis de tous les acteurs du système client.
Le Coach doit s’assurer de l’utilité explicite de sa mission pour et dans l’organisation.
Le Coach tient ses compétences :
– d’une formation continue reconnue et ouvrant à un diplôme d’état ou une certification professionnelle inscrite au RNCP,
– de connaissances théoriques régulièrement mises à jour,
– de la réactualisation régulière de ses connaissances,
– de sa capacité à opérer une transposition opérationnelle de ses connaissances vers la mise en oeuvre et/ou la conception de processus de méthodes et d’outils d’accompagnement,
– d’une formation à discerner son implication personnelle dans la compréhension d’autrui et des mécanismes qui régissent les interactions dans les organisations. La formation doit permettre d’accompagner le futur coach dans sa conscience sa connaissance et sa maîtrise de soi.
Chaque Coach est garant de son niveau de qualification. Il s’autorise en conscience à exercer son métier de Coach à partir de sa formation, de sa certification professionnelle inscrite au RNCP ou de son diplôme d’état, qui attestent de l’acquisition des compétences hautement spécialisées et des connaissances pluridisciplinaires propres à l’exercice de cette profession.
Il définit ses limites propres, compte tenu de sa formation et de son expérience. Il refuse toute intervention lorsqu’il sait ne pas avoir les compétences requises.
Il engage un travail auto réflexif portant sur son niveau d’exercice et la validité de ses connaissances techniques. Il s’engage dans un processus de supervision et a recours à un superviseur lorsque la situation l’exige.
Quel que soit le contexte de son intervention et les éventuelles pressions subies, il fait preuve de prudence, mesure, discernement, impartialité et responsabilité.
Outre les responsabilités définies par la loi commune, le Coach a une responsabilité professionnelle. Il s’attache à ce que ses interventions se conforment aux règles du Code de déontologie du Comité d’Éthique du Coaching.
Dans le cadre de ses compétences professionnelles, le Coach décide du choix et de l’application des méthodes et techniques d’accompagnement mises en oeuvre ; que celles-ci relèvent de méthodes et techniques spécifiquement conçues par lui ou préexistantes et disponibles.
Il répond donc personnellement de ses choix et des conséquences directes de ses actions et avis professionnels auprès de ses clients.
Il peut remplir différentes missions et fonctions : il est de sa responsabilité de les distinguer et de les faire distinguer.
Avant toute intervention, le Coach s’assure du consentement libre et éclairé de ceux qui le consultent ou qui participent à un processus de coaching. Il a donc l’obligation de les informer de façon claire et intelligible des objectifs, des modalités et des limites de son intervention.
Le Coach a un devoir de probité dans toutes ses relations professionnelles. Ce devoir fonde l’observance des règles déontologiques et son effort continu pour affiner ses interventions, préciser ses méthodes et définir ses buts.
Le Coach a pour obligation de ne pas exploiter une relation professionnelle à des fins personnelles, religieuses, sectaires, politiques, ou en vue de tout autre intérêt idéologique.
Conscient de sa position, le Coach s’interdit tout abus d’influence.